4h40, Tana s’éveille.

La conscience de leur présence, pourtant déjà nombreuse, ne s’impose que progressivement. Je n’ai d’abord vu que cette famille avec les deux garçons bien emmitouflés dans le petit matin d’automne. Plus loin, les sportifs matinaux profitaient de l’air encore pur du lac d’Ambohibao. Au carrefour de la pharmacie, c’est fou que les taxibe fassent du taxibe si tôt dans la journée: comme si les chauffards étaient partis dormir pour se réveiller avec la ferme intention...
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