Pourquoi les embouteillages à Antananarivo ne diminuent-ils pas ?

Découvrez comment les nouvelles infrastructures, loin de résoudre le problème, ont étendu le périmètre des embouteillages, transformant les périphéries en nouvelles zones de congestion.

  • Problème chronique d’embouteillages à Antananarivo.
  • Complexité des solutions de circulation.
  • Effet limité des rocades et bypass.
  • Nécessité d’alternative de mobilité durable.
  • Impact sur la qualité de vie et l’environnement.

À Antananarivo, les embouteillages persistent malgré les efforts d’expansion des infrastructures comme les rocades et les bypass. Ces solutions, bien que coûteuses, semblent insuffisantes pour désengorger efficacement le trafic du centre-ville et ont paradoxalement rapproché les périphéries. Le passé montre que ces approches ont souvent échoué à améliorer significativement la fluidité du trafic et ont plutôt étendu le problème à de nouvelles zones. Désormais, des zones autrefois éloignées comme Ambohimanga et Ambohimalaza sont traitées comme des banlieues proches, exacerbant la pression sur les infrastructures existantes. Il est crucial de repenser les stratégies de mobilité urbaine pour éviter de reproduire les erreurs du passé et pour préserver les espaces naturels et la qualité de vie à Antananarivo.

De la pertinence d’organiser, encore et toujours, des réunions et autres colloques ou séminaires, dans le quartier d’Alarobia-Ivandry-Ankorondrano. L’un des pires axes d’embouteillages d’une Capitale qui, pourtant, n’en manque pas. Déjà, se sortir du rond-point d’Ampasampito. Depuis le cimetière d’Anjanahary, l’hôpital Soavinandriana, ...
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