La possibilité d’une île

C’est une belle saison des pluies que nous avons. Il ne faut pas s’en plaindre, parce qu’on regrettera toute cette eau quand viendra l’étiage. Mon plaidoyer pour un ou plusieurs lacs artificiels qui emmagasinent cette eau, qu’actuellement on laisse se perdre, remonte à au moins une douzaine d’années : dans la Chronique du 9 novembre 2012 («Au carrefour des décisions», j’écrivais déjà : «J’azertise sous une pluie battante. Cette eau, si précieuse, demain, dans les...
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