Ravalomanana perd-il sa dernière chance en boycottant le scrutin du 16 novembre ?

Le boycott du scrutin par Ravalomanana à l'âge de 75 ans met en péril ses dernières chances de revenir au pouvoir, suscitant des questions sur la crédibilité de son alliance avec des candidats moins populaires, tandis que le boycott de plusieurs candidats est critiqué pour son impact sur la démocratie, mais le nombre de candidats en campagne ne devrait pas influencer le résultat électoral.

  • Marc Ravalomanana, leader du collectif des 11 candidats, décide de boycotter le scrutin du 16 novembre, hypothéquant ainsi ses chances de retour au pouvoir à 75 ans.
  • Ce choix semble profiter à Siteny Randrianasoloniaiko, mais les partisans de Ravalomanana remettent en question sa crédibilité en s’alliant avec des candidats de moindre envergure.
  • Le boycott de dix candidats est critiqué pour son impact négatif sur la démocratie et l’éthique politique.
  • Trois candidats, dont Andry Rajoelina, sont déjà en campagne, tandis que d’autres rejoignent le processus, mais le nombre de candidats en campagne n’aura probablement aucun impact sur le résultat électoral.
Marc Ravalomanana, l’adversaire du Président sortant et candidat à sa propre succession,  figure sans conteste  à la tête du collectif des 11 candidats, dénommé C11 (devenu semble-t-il C10,5  du fait de la vraie-fausse défection du candidat n°13).  Le fait pour le patron du Tiko de boycotter le...
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